Voici le temps venu des estivants et d'une pause, passé celui des cerises.
Cadeau pour mes gentils abonnés,
l’incipit (en ligne) d’un conte futuriste pour jeunes adultes,
légèrement déjanté : j’origine la pensée dans un nautile.
Ça, vous ne le découvrirait pas tout de suite.
Le tout prend source chez Kafka, Musil, Dostoïevski, Camus, etc.
Rien que cela !
Ça sort enfin du magma qui m’anime, qu’un coup de pied aux fesses de celui qui se reconnaîtra 😉 et que je remercie ! m’a gentiment donné libérant l’expression en la forme et le fond 😮
Tout est déjà écrit :
« du bon travail, et surtout du travail précieux, car ce fut du gros travail. Luxuriant. C’est une façon, une couleur, et plutôt très bien maîtrisée, si elle demanderait à mon sens un accompagnement littéraire pour amender, affiner, retirer – plutôt qu’ajouter. » avait dit mon botteur fort honnête dans son jugement.
L’accompagnement littéraire : ne rêvons pas… La direction qu’il fallait lui donner, je n’y acquiesçais que trop. Il n’y a donc plus qu’à poursuivre l’effort et continuer de corriger, courageusement, forme et fond, pour n’exprimer que l’essentiel.
On s’encourage comme on le peut, vu la difficulté pour se faire éditer et même écrire des textes dignes d’un tel retour. Probablement, mon « chant » ne circulera, achevé, qu’en sous-main. Bah, il y a bien plus grave à vivre en ce monde…
Merci de m’avoir lue.
Zoétiquement.
(Un mot que j’ajoute à mon dictionnaire).
Tout pouvoir, en un mot, périt par l’indulgence
Voltaire