Nicolas de Staël

« Les tendances non figuratives n'existent pas. Le peintre aura toujours besoin d'avoir devant les yeux, de près ou de loin, la mouvante source d'inspiration qu'est l'univers sensible. »

Instants de magie… Mon retour sur ma rencontre avec la peinture de Nicolas de Staël, parfois suspendue, admirative, les pieds pourtant bien arrimés au sol…

Peintre de la matière ? Première impression…

Eau de vie, Paris 1948
Matière... extrait
Fragmentation, 1951
Matière... extrait
Les Indes galantes, Paris 1953
Diapositive précédente
Diapositive suivante

Ses premières œuvres, des représentations abstraites, sont sombres « sans fin torturées, repeintes, massacrées, bousculées » les décrit sa première femme.

Puis ses compositions se simplifient, plus condensées ou fragmentées. 

Cliquez sur les images pour agrandir.

La couleur explose : portrait d’Anne, sa fille, et série de paysages en petit format peints sur du contreplaqué ou du carton, et toiles grand format 200×350 (Bouteilles dans l’atelier, Paris 1953). 

La matière se met en mouvement (les Indes Galantes ou portrait de sa fille Anne) ; sa peinture s’allège, renonçant à l’épaisseur.

Un travail unique...

Voir aussi l’article De la réception d’une œuvre à propos de sa dernière toile, Le Concert.

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