L’art (parisien) à l’aube de la Modernité (1905-1925)

Paris. La Modernité dans la peinture.

Ce mini-reportage est tiré de l’exposition Le Paris de la Modernité sur cette époque bouleversante à l’histoire complexe – entrecoupée par la Première guerre mondiale  (beau tableau de Scott, tout en délicatesse avec son fondu de l’arme) – qui poursuit la rupture réalisée par les peintres impressionnistes dans leur représentation de la réalité.

Comme nous renseigne Guillaume Apollinaire (qui « dissèque » la peinture des nouveaux peintres à la manière de la Littérature !),

La vraisemblance n'a plus aucune importance, car tout est sacrifié par l'artiste aux vérités, aux nécessités d'une nature supérieure qu'il suppose sans la découvrir. Le sujet ne compte plus ou s'il compte c'est à peine. L'art moderne repousse généralement la plupart des moyens de plaire mis en œuvre par les grands artistes des temps passés. Si le but de la peinture est toujours comme il fut jadis : le plaisir des yeux, on demande désormais à l'amateur d'y trouver un autre plaisir que celui que peut lui procurer aussi bien le spectacle des choses naturelles. On s'achemine ainsi vers un art entièrement nouveau, qui sera à la peinture, telle qu'on l'avait envisagée jusqu'ici, ce que la musique est à la littérature.

Les peintres qui m’ont impressionnée (série complète en gros plans, détaillée en dessous) :

Jacqueline Marval (1 & 2) & Marie Laurencin (portrait de Max Jacob)

Albert Gleizes

Chagall (et sa fiancée)

Jean Le Prince

Jacques-Emile Blanche (au centre portrait d'Igor Stravinsky)

Modigliani

Dans l'ordre : Marie Vassilieff, Léonard Foujita, Jules Pascin, Kees Van Dongen, Garbari (les intellectuels à Paris), Felix Valotton, Ernst, Soutine, Scott, Gino Severini, Henri Rousseau, Braque

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